Donnes moi la main mon amour et envolons-nous
Tutoyer le jardin des Hespérides,
Goûter à ses légendaires pomme sans rides.
Réalisons nos rêves les plus fous.
Je te guiderai sur les ailes d'un albatros
Survoler les mers de lapis-lazuli
Aller visiter le royaume d'Eos
Où les merveilles font rire avec envie.
Nous ferons escale dans mon domaine
Où naguère naquis mes sentiments actuels
Désormais il t'appartient tu en est la reine
Lui faisant oublié son passé cruel.
De là nous irons jusqu'au Palais d'Aphrodite
Lui montrer qui en beauté lui fais face
Qu'elle sache que le Soleil à son zénith
Jamais en magnificence ne te surpasse.
Puis je te ferai découvrir enfin
Cet univers que j'ai créer pour toi
Où l'air, des roses embaumes le parfum
Où la tendresse est la première des Lois.
Les champs reverdiront à ton passage
Les chardons s'épanouiront de mille couleurs
Les oiseaux y chanteront le bonheur
De ton empreinte sera marqué le paysage.
D'un sac de magicien je sortirais
Gaieté, trille, éclat de rire et autres malice
Et là blottis face au ciel l'on attendrait
Que le soleil se couche, que nos rêves dépérissent.
Tutoyer le jardin des Hespérides,
Goûter à ses légendaires pomme sans rides.
Réalisons nos rêves les plus fous.
Je te guiderai sur les ailes d'un albatros
Survoler les mers de lapis-lazuli
Aller visiter le royaume d'Eos
Où les merveilles font rire avec envie.
Nous ferons escale dans mon domaine
Où naguère naquis mes sentiments actuels
Désormais il t'appartient tu en est la reine
Lui faisant oublié son passé cruel.
De là nous irons jusqu'au Palais d'Aphrodite
Lui montrer qui en beauté lui fais face
Qu'elle sache que le Soleil à son zénith
Jamais en magnificence ne te surpasse.
Puis je te ferai découvrir enfin
Cet univers que j'ai créer pour toi
Où l'air, des roses embaumes le parfum
Où la tendresse est la première des Lois.
Les champs reverdiront à ton passage
Les chardons s'épanouiront de mille couleurs
Les oiseaux y chanteront le bonheur
De ton empreinte sera marqué le paysage.
D'un sac de magicien je sortirais
Gaieté, trille, éclat de rire et autres malice
Et là blottis face au ciel l'on attendrait
Que le soleil se couche, que nos rêves dépérissent.